L’Institut de Victimologie, Gynécologie Sans Frontières et l’AFORCUMP (Association de Formation et de Recherche des Cellules d’Urgence Médico-Psychologique) vous présentent une série de MOOCs certifiés par l’Université des Antilles sur le 1er site de cours en ligne dédié à la victimologie et à la psychotraumatologie.
Une inscription gratuite et facile pour rejoindre près de 300 participants qui ont pu bénéficier d’une formation sur la base de cours et de vidéos assurés par des spécialistes en victimologie et psychotraumatologie, de tests d’évaluation des connaissances élaborés par nos enseignants (QCM), d’une certification du Mooc, en cas de réussite aux tests.
Evalué à 4,6/5
Quelques avis
Formation de qualité, accessible et complète.
Si la première partie consacrée à la clinique, reste d’un niveau relativement basique, la seconde partie va dans le détail de la prise en charge médico-psycho-judiciaire et est particulièrement intéressante. MERCI!
En tant que sage-femme la première partie était bien plus adaptée que la seconde, parfois longue et concernant des informations sur les suites judiciaires, les thérapies et l’indemnisation. Néanmoins ça reste intéressant pour la connaissance générale.
J’ai apprécié l’exercice pratique proposé sur la rédaction d’un certificat médico-légal, c’est quelque chose qui fait peur aux soignants.
J’ai posé des questions sous les diapos qui sont restées sans réponses, j’espère en avoir une à l’occasion.
Merci pour ce beau travail
L’Association de Formation des Cellules d’urgence Médico-psychologique, Société Française de Psychotraumatologie, l’Institut de Victimologie et Gynécologie sans Frontière ont une expérience reconnue en psychotraumatologie et victimologie. Conscients des besoins de formation en matière de violences intra et extra-familiales des professionnels de santé, des travailleurs sociaux, des juristes et des forces de l’ordre ont décidé d’unir leurs efforts pour offrir des formations en ligne validée par l’Université des Antilles.
Des professionnels qualifiés, psy, médecins, bénévoles ou permanents associatifs (FNCIDFF, AIVI, France Victime, etc.), juges, éducateurs et avocats apportent leur contribution dans leur champ de connaissances, dans la mesure où le travail en réseau est une dimension indispensable de la prise en charge des victimes.