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« Sage-femme », étymologiquement cela signifie « avoir le savoir des femmes », le savoir sur le fonctionnement du corps des femmes (dans la génitalité notamment), mais c’est aussi plus global, c’est la sagesse des femmes dans leur globalité. Être sage-femme c’est accompagner les femmes dans leur vie de femme dans sa globalité.
C’est ce que j’ai ressentie pendant ma mission de 4 semaines dans le Nord de la France. Cette mission, je l’ai faite dans le cadre de ma formation pour devenir sage-femme. Beaucoup me disent « mais t’as pas fait beaucoup de gynécologie pour un stage avec gynécologie sans frontière ». Au contraire, j’ai fait plus que ça, j’ai accompagné des femmes, j’ai écouté, j’ai considéré ces femmes venues d’ailleurs. (suite…)
Amélie Gendrot – Étudiante sage-femme (37)
Pour la deuxième fois, j’allais assurer la coordination des refuges de Gynécologie Sans Frontières dans le nord de la France.
En 2017, un lieu unique proposait un accueil d’urgence et de courte durée; depuis décembre dernier, un autre appartement permet un hébergement à plus long terme, pour des femmes souhaitant demander l’asile en France.
Avec Amélie, mon premier binôme, nous allions prendre soin de ces femmes arrivées, sans l’avoir vraiment choisi, dans les Hauts de France. (suite…)
Christine Merkt – Infirmière (90)
Gynécologue-obstétricien depuis quelques années, j’avais en partie choisi cette spécialité pour son volet humanitaire. L’obstétrique a toujours existé et reste un facteur de mortalité tel dans les pays pauvres que L’ONU en a fait un des objectifs mondiaux du développement.
Dès ma licence de remplacement obtenue j’ai donc cherché à contribuer à l’effort humanitaire, mais partir n’est pas simple, surtout les premières fois, et j’avais besoin d’un cadre solide, engagé et fiable. L’ONG Gynécologie Sans Frontière a répondu à ces exigences de façon incontestable et sans équivalent. (suite…)
Thomas Charbonnier