Gynécologue-obstétricien depuis quelques années, j’avais en partie choisi cette spécialité pour son volet humanitaire. L’obstétrique a toujours existé et reste un facteur de mortalité tel dans les pays pauvres que L’ONU en a fait un des objectifs mondiaux du développement.

Dès ma licence de remplacement obtenue j’ai donc cherché à contribuer à l’effort humanitaire, mais partir n’est pas simple, surtout les premières fois, et j’avais besoin d’un cadre solide, engagé et fiable. L’ONG Gynécologie Sans Frontière a répondu à ces exigences de façon incontestable et sans équivalent.

Présente partout dans le monde, pour des missions de crise comme de développement, elle est faite de gens passionnés et professionnels qui connaissent parfaitement les problématiques de la féminité dans le monde: violences, précarité, mutilations, guerres, et celles de l’humanitaire : « Soigner sans se substituer ». J’ai aujourd’hui réalisé plusieurs missions par leurs soins, je continuerai, et leur en suis très reconnaissant.

Merci GSF.